À propos

« Setu » signifie “voici, voilà” en breton (prononcez “sétu” \ˈsetːy\ ). Mot de début et mot de fin, « Setu » est un terme qui, littéralement, montre et présente. « Setu » ouvre et ponctue une action, et par là, met en valeur le moment présent de la représentation.

Depuis septembre 2016, le festival Setu réunit public et artistes pendant deux jours, dans une ferme située à Elliant dans le Finistère sud.

Setu est un espace de diffusion qui rassemble différentes formes live, ouvertes et transdisciplinaires (musique, danse, récits, gestes, peintures, conversations, etc…), et qui cherche à favoriser l’apparition de nouveaux langages.

Setu invite aux croisements, aux débordements et souligne les porosités qui existent entre toutes ces représentations.

Quelques jours avant le festival, les artistes sont invités à venir travailler sur place. Au rythme des conversations et des repas partagés, des zones de réflexion et des temps d’action se définissent naturellement. Les propositions des artistes s’adaptent, s’écrivent ou se réécrivent complètement.
Durant cette semaine, l’équipe, les bénévoles et les artistes vivent, campent, mangent et travaillent ensemble à l’élaboration du festival.

C’est dans ce climat convivial, propice aux rencontres et aux mélanges, que nous accueillons le public.
Fidèles du week-end, artistes, curieux de passage, bénévoles, organisateurs… créent un groupe où chacun a la possibilité de s’engager et de prendre part aux échanges.

Nous sommes les premier.ère.s spectateur.rice.s de ce qui se joue. Nous participons à tous ces échanges, continuons à réfléchir, à définir le coeur et les contours de Setu, avant, pendant et après le festival.

À la merveilleuse et fidèle équipe qui nous entoure
Aux bénévoles et leur aide précieuse,
Aux publics, qui nous suivent et nous encouragent depuis le début,
Aux artistes, qui portent généreusement leurs projets devant nous,

MERCI !


Un grand merci également à Morgan Coadou et la ferme Ker Bugale, à Émilie Kermanac’h et l’association Chrysalide, à l’Eesab-site de Quimper, à la Ville d’Ergué-Gabéric, au Conseil Régional de Bretagne, à Concarneau Cornouaille Agglomération et au Conseil Départemental du Finistère.

Sans leur soutien moral, matériel et financier, le festival ne serait pas ce qu’il est !

En espérant vous retrouver à la fin de l’été,

Marie L’Hours et Morgane Besnard│\ /∵\/∵\ /│2018


L’équipe organisatrice

Le festival Setu a été fondé par Marie L’Hours et Morgane Besnard, rejointes par Thomas Delahaye et Alice Gautier en 2017. Et, fin 2019, après le départ d’Alice et Marie vers de nouvelles aventures, Guillaume Pellay, Margaux Parillaud et Barbara Huneau ont intégré l’équipe.


Soutiens et Partenaires

Setu est soutenu par le Conseil Départemental du Finistère, le Ministère de la Culture – DRAC Bretagne, Concarneau Cornouaille Agglomération, la Région Bretagne, la Ville d’Ergué-Gabéric, l’Eesab-site de Quimper, la Ville d’Elliant, le Crédit Agricole du Finistère, l’association du Marché de Kerdevot, la ferme de Ker Bugale.


Parutions

  • DUUU Radio – SETU – Conversation #124 – Entretiens menés par Sophie Lapalu (septembre 2019)
  • Revue V.E.N. (Vers l’Education Nouvelle) – Setu, Voici, Voilà ! par Dominique Besnard
  • Mouvement – SETU par Léa Poiré (n°102, juillet-août 2019)
  • Le Télégramme : « Deux jours de performance au vert » par Olivier Desveaux (28/08/2019)
  • Art Insider – la revue des professionnels de l’art : “J’ai monté mon festival de performance”, par Alexandrine Dhainaut, n°06-septembre 2018, un extrait ici.
  • Le Télégramme : « Setu, un festival d’art et de “lâcher-prise” » / « Trente minutes de Conversations », le 30/08/2018.
  • Côté Quimper : « Focus sur la performance artistique avec le Festival Setu », le 30/08/2018.
  • Penn Ar Bed Magazine : « Setu s’épanouit à Elliant », n°149, juillet 2018.
  • France Culture – Les Carnets de la création : «Performances bretonnes, par Marie L’Hours et Morgane Besnard», émission du 01/09/2017, à réécouter ici.
  • Le Télégramme : «Performances. Un nouveau festival est né» reportage paru le 29/08/2017.