Lola Gonzàlez et Alexandre Bourit

— Dance me to the end of love

Performance, environ 3h, 2016-2018
En collaboration avec Alexandre Bourit

Pour accompagner la fin du jour, samedi à Setu, Lola Gonzàlez propose une danse collective et participative, un “jacques-a-dit” dansé à l’intérieur duquel le rôle de meneur se transmet par une tape bienveillante sur l’épaule. Invité à rejoindre le groupe par un cocktail bleu, le public choisit de prendre part à la danse ou de rester spectateur.
Durant près de trois heures de musique jouée en live par Alexandre Bourit, l’air d’Ennio Morricone Scuola di ballo al sole revient comme un gimmick. Du bal de village à la fête techno-trance, les notes s’enchaînent, se répètent.
Jouée dans divers lieux depuis 2016, Dance me to the end of love est une expérience imaginée à partir d’une scène du film Des oiseaux petits et grands de Pier Paolo Pasolini et rappelant le concours de danse jusqu’à la mort de Sydney Pollack dans On achève bien les chevaux

→ Lola Gonzàlez

©Clément Harpillard